Une histoire gentiment gay et un peu triste.
J'ai 45 ans. Ok, il paraît que je ne les fais pas. Je suis marié, mais depuis toujours j'ai aussi d'autres tentations, le sentiment de passer à côté de quelque chose d'important. Plus un fantasme qu'autre chose je crois. J'ai vécu un truc très fort avec quelqu'un qui a plus l'âge d'être mon fils... Oui, l'âge de mon fils, et pas de ma fille. Je vais essayer de vous écrire cette histoire et la façon dont elle m'a retourné le cerveau...
Et puis je vous ferai également part de mes états d'âme, si toutefois vous y voyez un intérêt (laissez moi des com !)
Si vous voulez tchater sur msn, c'est toujours un plaisir pour moi. N'hésitez pas à me contacter !
Un soir, j'écris à nouveau un long mail à A. Sa douleur de vivre, même si je n'ai pas vécu tout ce qu'il a vécu malgré son âge, je la comprend, je la reconnais. Je me souviens. Ce qui est triste, c'est que même 20 à 30 ans après, il m'arrive encore de la ressentir. Mais je ne lui dit pas. C'est trop désespérant de se dire que "20 ans d'expérience ne font pas toujours la différence", pour paraphraser la pub Nutella... Voici en gros ce que je lui écrit, un soir où je l'ai...
yvan, Posté le mardi 03 janvier 2006 07:56
serieux tu as bein fait de faire ton blog
merci
beberthur, Posté le vendredi 30 décembre 2005 20:56
la conclusion de cette lettre est tellement géniale que je ne peux que la souligner d'un bravo franc et massif (ca ne veut rien dire je sais)
beberthur, Posté le vendredi 30 décembre 2005 20:44
je suis tout simplement béat d'admiration devant la conclusion de cette lettre, et j'aimerais bien qu'on m'en écrive une ou deux de temps en temps....
ERIC, Posté le mardi 28 février 2006 10:57
Je comprends que tu aimes Eric Emmanuel-Schmitt, et sans doute plus que la Dame rose, parce que tu écris un peu comme lui.
D'ailleurs je me demande si...
Et j'écoute Mozart !